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L’équation du changement.

equation du changement

Les contraintes économiques, la modernisation (changement d’outil), l’innovation, la résolution de problèmes internes d’organisation entraînent des changements. Les évolutions technologiques de la dernière décennie ont augmenté cette obligation de changement pour les organisations.

Le seul fait de vouloir changer ne suffit pas à réussir son projet de changement. C’est la même chose lorsque le changement n’est pas préparé, est imposé ou subit.

On entend souvent parler d’accompagnement au changement sans vraiment savoir ce à quoi cela correspond.

Pour comprendre simplement, comment réussir un changement, nous vous proposons un schéma.

Sans VISION, le but à atteindre est imprécis et donc confus. Il est difficile d’aller dans la bonne direction lorsqu’on ne la connait pas. La vision est exprimée par le responsable et elle doit faire l’objet d’une communication claire.

Sans INCITATION, la motivation des équipes n’est pas suffisante et le projet de changement est freiné. L’atteinte de l’objectif ne pourra se faire que progressivement.

Sans COMPETENCES pour mener à bien le projet, les parties prenantes vont se demander comment faire et les craintes d’échouer vont augmenter. L’anxiété générée par cette situation sera préjudiciable à la réussite du projet.

Sans RESSOURCES, le projet va manquer de moyens pour réussir. Ne pas disposer des ressources suffisantes sera très frustrant pour les équipes qui, même si elles sont motivées, ne pourront pas s’exprimer.

Sans PLAN D’ACTION précis et concret, le planning du projet sera anarchique. Il n’y aura pas d’enchainement logiques des étapes et personnes ne saura ou en est le projet. Il sera tellement mal managé qu’il sera nécessaire de repartir au début.

Pour réussir son changement, il est nécessaire que tous les points de l’équation de ce schéma soient effectivement et à minima mis en œuvres.

Par |mai 18th, 2015|Social|Commentaires fermés sur L’équation du changement.

Comment reconnaitre les créatifs

 creativité

La créativité implique une multitude de traits, de comportements et d’influences sociales soient rassemblées en une seule et unique personne.

S’il n’existe pas de profil créatif « typique « , on trouve cependant des caractéristiques et des comportements révélateurs chez les personnes extrêmement créatives.

Si certains d’entre eux sont déjà dans votre entreprise, prenez en soin et faite en sorte qu’ils se sentent bien car leurs compétences sont rares et essentielles dans l’entreprise d’aujourd’hui.

Ils rêvassent : Les personnes créatives le savent bien, malgré ce que leurs professeurs ont pu leur dire: rêvasser n’est pas une perte de temps. Laisser son esprit vagabonder peut faciliter le processus de « l’incubation créative ». Et bien sûr, nous savons par expérience que nos meilleures idées ont souvent l’air de sortir de nulle part, quand nous avons l’esprit ailleurs.

Ils observent tout ce qui est autour d’eux : Le monde appartient aux personnes créatives – elles voient des possibilités partout et recueillent constamment des informations qui deviennent un prétexte à l’expression créative.

Ils prennent le temps d’être seuls : Les artistes et les personnes créatives sont souvent caractérisées comme des personnes solitaires, et bien que ce ne soit pas forcément le cas, la solitude peut être le secret qui leur permet de produire leurs plus belles œuvres.

Ils sont à la recherche de nouvelles expériences : Les personnes créatives adorent s’exposer à de nouvelles expériences ou sensations et à de nouveaux états d’esprit – et cette ouverture est un indicateur important de la production créatrice : la curiosité intellectuelle, la recherche du frisson, l’ouverture aux émotions, l’ouverture au fantasme.

Ils « échouent » : Les personnes créatives échouent et celles qui sont vraiment douées échouent souvent. Faire un travail créatif est souvent décrit comme un processus qui consiste à échouer à maintes reprises jusqu’à ce que vous trouviez quelque chose qui convienne, et les personnes créatives – du moins celles qui réussissent – apprennent à ne pas considérer l’échec comme quelque chose de personnel.

Ils posent les bonnes questions : Les personnes créatives ont une curiosité insatiable – ils choisissent généralement de vivre la vie examinée, et même quand ils vieillissent, ils maintiennent une curiosité au sujet de la vie. Les personnes créatives regardent le monde qui les entoure et veulent savoir pourquoi, et comment, les choses sont ainsi.

Ils observent les gens : Observateurs de nature et curieux d’en savoir plus sur la vie des autres, les personnes créatives aiment souvent observer les gens – et leurs meilleures idées peuvent provenir de cette activité.

Ils prennent des risques : Prendre des risques fait partie du travail créatif, et beaucoup de personnes créatives adorent prendre des risques dans de différents aspects de leurs vies. Cela nécessite de rendre public ces paris que l’on a d’abord fait dans sa tête. Ce n’est pas un travail pour les timides.

Pour eux, tout devient une occasion de s’exprimer : Nietzsche estimait que la vie et le monde devraient être vus comme des œuvres d’arts. Les personnes créatives ont peut-être plus tendance à voir le monde et la vie comme des œuvres d’arts, et à chercher constamment des occasions de s’exprimer dans la vie de tous les jours. La créativité n’est rien de plus qu’une expression individuelle de vos besoins, de vos désirs et de votre singularité.

Ils réalisent leurs vraies passions : Les personnes créatives ont tendance à être intrinsèquement motivées – c’est-à-dire que leur motivation à agir vient d’un désir interne, plutôt que d’un désir de reconnaissance extérieure ou de récompense. Les créateurs éminents choisissent et deviennent passionnément impliqués dans des problèmes difficiles et risqués qui leur procure une sensation de pouvoir découlant de leur capacité à utiliser leurs talents.

Ils sortent de leur propre tête : L’autre objectif de la rêvasserie est de nous aider à sortir de nos propres perspectives limitées et d’explorer d’autres façons de penser, qui peuvent être un atout important pour le travail créatif.

Ils perdent la notion du temps : Les personnes créatives se rendent compte que lorsqu’elles écrivent, dansent, peignent ou s’expriment d’une autre manière, elles entrent « dans la zone », c’est-à-dire « en transe », ce qui peut les aider à créer à un grand niveau. La transe est un état mental qui se produit quand un individu dépasse la pensée consciente pour atteindre un état plus intense de concentration facile et de sérénité.

Ils s’entourent de beauté : Les personnes créatives ont tendance à avoir d’excellents goûts: ils aiment donc être entourés de beauté.  Les artistes (les vrais…) ont souvent – ont une haute sensibilité et une haute réceptivité à la beauté.

Ils relient les points : Si une chose distingue les personnes très créatives des autres, c’est bien la capacité d’entrevoir des possibilités là où les autres n’en voient pas – ou, dans d’autres termes, la vision.
Selon les dires de Steve Jobs: « La créativité, c’est simplement établir des connexions entre les choses. Quand vous demandez aux personnes créatives comment elles ont réalisé telle ou telle chose, elles se sentent un peu coupables parce qu’elles ne l’ont pas vraiment réalisé, elles ont juste vu quelque chose. Cela leur a sauté aux yeux, tout simplement parce qu’elles sont capables de faire le lien entre les différentes expériences qu’elles ont eu et de synthétiser les nouvelles choses.

Ils font bouger les choses : La diversité des expériences, plus que n’importe quoi d’autre, est essentielle à la créativité. Les personnes créatives aiment faire bouger les choses, vivre de nouvelles choses, et surtout éviter tout ce qui rend la vie plus monotone ou ordinaire.

Ils consacrent du temps à la méditation : Les personnes créatives saisissent la valeur d’un esprit clair et concentré – parce que leur travail en dépend. Beaucoup d’artistes, d’entrepreneurs, d’écrivains et autres créateurs, tels que David Lynch, se sont tournés vers la méditation afin d’avoir accès à leur état d’esprit le plus créatif.

Par |avril 2nd, 2015|Social|Commentaires fermés sur Comment reconnaitre les créatifs

Discours commercial : Les mots à éviter

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On ne communique jamais pour dire, mais pour agir sur celui ou ceux avec qui on communique. Le choix des mots est dirigé par l’effet que l’on veut produire et le résultat que l’on attend. Dans le discours commercial et la qualité de service, ce choix est déterminant.

Les mots à UTILISER : Les mots FORTS : des formes POSITIVES, le temps présent.

Je vous confirme, Je vous conseille
Je vous propose, Je m’engage à …
Je vous fais bénéficier de…/profiter de…
Je me renseigne/Je note
Je comprends tout à fait
Je fais le maximum, Je vous invite à…
Oui / Bien sûr / Tout à fait / Très bien / Parfait
Je m’en occupe personnellement
Vous pouvez compter sur moi
C’est le plus intéressant/ le plus avantageux/ le plus adapté
Soyez certain
Simplement / Justement
C’est la raison pour laquelle
D’accord
Je / Vous / Nous
Je vous rassure
Un instant je vous prie, Veuillez patienter SVP
Cela vous revient à
Dès le… 

Les mots à EVITER : Les mots VAGUES. Des formes IMPRECISES, le temps conditionnel.

Je présume
Je pense, je crois
A mon avis, à priori
A première vue, Je vais essayer
C’est possible, éventuellement
Peut-être, Apparemment
Cependant
Ça peut vous apporter
Sans doute, Pourquoi pas
Probablement
Il me semble que…
Il se peut que…
On pense que c’est vrai
Quelqu’un, relativement
Ca dépend, en principe 

Les mots à BANNIR : Les mots NOIRS. Des formes NEGATIVES, le temps futur et passé, l’impératif.

Je me permets, je m’excuse
Je ne sais pas, je suis désolée
Oui…Mais, non…Mais, ne…pas
Malheureusement
Petit / Sacré / OK / Peu
PROBLEME
C’est impossible
Je ne vous dérange pas
Par contre / Quand même
Néanmoins
Ils / Eux / ON
N’ayez aucune crainte
Ne vous inquiétez pas
Ne quittez pas, cela vous coûte
Pas avant le, voilà
Difficile / Long / Cher
Aucun problème / Pas de problème

Par |mars 30th, 2015|Divers, Social|Commentaires fermés sur Discours commercial : Les mots à éviter

Dans quels pays seriez-vous le plus heureux au travail ?

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Selon que vous privilégiez l’ambiance de travail, le temps de travail, l’équité Homme-Femme, l’évolution professionnelle, l’innovation, la relations avec la hiérarchie, la rémunération, la santé au travail, la sécurité de l’emploi ou encore les valeurs de l’entreprise, certains pays seront plus ou moins en phase avec vos motivation.

Pour le découvrir cliquez ci-dessous.

Dans quels pays seriez-vous le plus heureux au travail ?

Par |février 25th, 2015|Social|Commentaires fermés sur Dans quels pays seriez-vous le plus heureux au travail ?

Formation professionnelle : Ce qui change en 2015

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En matière de formation professionnelle, c’est désormais la loi du 26 février 2014 qui s’applique à compter de 1er janvier 2015 : Au programme, CDI apprentissage, nouveau mode de calcul des contributions, compte personnel de formation…
Vous trouverez ci-dessous ce qui va changer pour votre entreprise.

Le compte personnel de formation (CPF) : Il remplace le DIF : à compter du 1er janvier 2015, le CPF, dont l’objectif est de suivre des formations qualifiantes, remplacera donc le DIF. Plafonné à 150 heures, le CPF suivra la personne âgée d’au moins 16 ans tout au long de son parcours professionnel. Les droits du CPF sont transférables d’une entreprise à une autre et pendant les périodes de chômage.
http://www.moncompteformation.gouv.fr/
http://www.mon-compte-formation.fr/  

L’entretien professionnel : Un entretien professionnel est obligatoire tous les deux ans pour l’ensemble des salariés. L’objectif de ces rendez-vous est de faire le bilan sur les compétences, la formation et les perspectives d’évolution des collaborateurs. Il est différent d’un entretien d’évaluation du salarié. Il doit être systématiquement proposé à l’issue des différents congés (parental d’éducation, maternité, d’adoption, soutien familiale et longue maladie).

Contribution des entreprises : Une contribution unique et modulée pour financer la formation professionnelle : on passe de trois contributions à une seule allant de 0,55% (pour les entreprises de moins de 10 salariés) à 1% de la masse salariale. Cette contribution sera versée à un organisme collecteur (votre OPCA) et collectée à partir de 2016 sur la base des rémunérations 2015.

1 à 9 salarié(s) 10 à 49 salariés 50 à 299 salariés plus de 300 salariés
Plan de formation 0.4% 0.20% 0.10%
Professionnalisation (contrat et période) 0.15% 0.30% 0.30% 0.40%
Congé individuel de formation (CIF) 0.15% 0.20% 0.20%
FPSPP* 0.15% 0.20% 0.20%
Compte personnel de formation (CPF) 0.20% 0.20% 0.20%
TOTAL 0.55% 1% 1% 1%

* 20% des versements du FPSPP faits par les entreprises seront redistribués aux TPE de moins de 10 salariés via leurs Opca.

Le financement du CPF encadré : les employeurs (plus de 10 salariés) ont la possibilité de s’exonérer partiellement de l’obligation des « 1% » en réservant une quote-part (0,2%) pour financer le compte personnel de formation de leurs salariés. Pour cela, deux conditions s’imposent : signer un accord d’entreprise (ou être couverte par un accord de branche) et utiliser ces fonds dans les 3 ans suivants la signature de l’accord. Si ces contreparties ne sont pas respectées ou si les sommes ne sont pas entièrement dépensées pour le CPF, le reliquat est à verser à l’OPCA sous peine de pénalité financière.

CDI apprentissage : Désormais, il est possible de conclure des contrats d’apprentissage à durée indéterminée. Un tel contrat s’effectuera alors en deux temps : Une première période d’apprentissage (qui correspondra à celle du cycle de formation préparant à la qualification visée par l’apprenti) ; Suivie d’une relation contractuelle type CDI « classique » à laquelle toutes les dispositions du CDI s’appliqueront sauf la période d’essai.

Période de professionnalisation : Elle est élargie. Ce dispositif est désormais accessible aux salariés en contrat unique d’insertion ou relevant de structures d’insertion par l’activité économique. Renforcement de l’ambition qualifiante ou certifiante de ces périodes tout en laissant la porte ouverte à des formations visant l’acquisition du socle de compétences classiques.

Durée du travail des temps partiels : Le nouveau décompte du temps partiel reporté : c’est finalement à compter de juin prochain que la durée minimale de 24 heures par semaine pour les contrats à temps partiels sera effective.

Contrats de génération : Jusqu’au 31 mars 2015, les entreprises de 50 à 300 salariés peuvent bénéficier de l’aide de l’Etat sans avoir nécessairement signé d’accord collectif ou défini de plan d’action spécial « contrat de génération ». Passée cette date, elles devront s’acquitter d’une pénalité fixée par décret si elles n’ont pas engagé les démarches nécessaires.

Par |février 5th, 2015|Social|Commentaires fermés sur Formation professionnelle : Ce qui change en 2015